« Le chemin de fer est la réponse la plus solide au Green Deal » : tel est le message qui a émergé de la table ronde inaugurale d’Expo Ferroviaria 2025, à laquelle ont participé le directeur général de TELT Maurizio Bufalini, le ministre italien des Infrastructures Matteo Salvini, ainsi que des représentants institutionnels et des personnalités de premier plan du secteur.
Du 30 septembre au 2 octobre, TELT a pris part à Milan à la principale exposition internationale consacrée à l’industrie ferroviaire, en présentant la section transfrontalière du Lyon-Turin et en partageant son expérience technologique.
L’innovation est dans l’ADN des grandes infrastructures comme le Lyon-Turin, car ce sont des ouvrages d’envergure appelés à durer plusieurs siècles. Cela implique nécessairement d’introduire de l’innovation dans tous les domaines : technique, mais aussi social et réglementaire. C’est également ce que nous attendons des entreprises qui travaillent pour nous et de celles qui participent à l’appel d’offres pour l’équipement ferroviaire et technologique de la nouvelle ligne : elles doivent être capables d’imaginer le chemin de fer du futur.
Maurizio Bufalini, directeur général de TELT
Dans l’espace de TELT, marqué pour l’occasion par une identité visuelle spéciale célébrant les 10 ans de la société, des visiteurs venus du monde entier ont pu approfondir leur connaissance des chantiers en cours en France et en Italie et échanger directement avec les techniciens présents.
Les interventions de TELT se sont poursuivies avec Arturo Turi, directeur Ingénierie, et Xavier Baumgard, chef de projet installations ferroviaires, qui ont présenté le modèle du Marché Global de Performance, qui pilote la réalisation du chantier en intégrant des solutions techniques et managériales innovantes.
La contribution de TELT s’est poursuivie le 1er octobre avec l’intervention de Enrico Breveglieri lors de la conférence organisée par la Società Italiana Gallerie, consacrée à la gestion des risques et aux aspects contractuels des travaux souterrains. Il y a partagé l’expérience acquise sur les chantiers du Lyon–Turin, enrichissant ainsi le débat international.